Brave New World (2020)
Brave New World
Dans le monde qui régit la Nouvelle Londres, dans un avenir indéterminé, la pauvreté, la guerre et la maladie ont disparu ; les humains sous psychotropes et connectés s'adonnent au plaisir et à la consommation.
Terminée | Américaine | 41 minutes |
Drama, Science-Fiction, Thriller | Peacock | 2020 |
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1.06 - Dans la poussière
In the Dirt
Lenina a une collision inattendue. John devient le centre de l'attention.
Diffusion originale : 15 juillet 2020
Diffusion française :
15 juillet 2020
Réalisat.eur.rice.s :
Aoife McArdle
Scénariste.s :
Elaina Perpelitt
Guest.s :
Charlie Hamblett
,
Matthew Aubrey
,
Rachel Heaton
,
Sahara Knite
,
Sophie McIntosh
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 21 février 2021 à 17:32 |
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Autant j'aime l'idée que la narration est un élément inhérent de la vie humaine (et un moyen de drague), autant le délire autour de la simulation fait assez cheap et offre une porte de sortie bien plus qu'un développement. J'aime beaucoup la série et je remercie Mmaginère pour ces critiques intéressantes, mais je ne peux que souligner la nature assez fonctionnelle de la forme bicéphale du récit. D'un côté, on nous parle du pouvoir de la narration, de la fascination pour la douleur et de nos propres obsessions pour notre nature sauvage réprimé. De l'autre, cette femme qui part au centre du monde juste pour donner un glimps, un échappatoire à une histoire qui ne croit pas en sa capacité à se renouveler, qui craint l'impasse. Qui doute de sa capacité de sortir du matériel de base. Et c'est assez lâche, cheap et bourré de clichés.
Donc les rats, le tunnel, l'eau qui coule, les clichés obsessifs freudien de la naissance. L'image est belle, mais cela reste creux car le personnage qui le subit ne fait pas parti de l'intrigue. Un glimps, un petit pas de côté scénaristique pour masquer un manque de confiance qui se ressent avec une musique qui commence à se répéter. C'est joli, mais c'est surtout un épisode qui joue avec son propre malaise, ce qui est bien, mais ne parvient au final qu'à multiplier les symboles et à nous ramener sur les rails du dernier acte. Dommage.